Quatrième de couverture :
Paris, 1633. Les dragons menacent le royaume.
Surgis de la nuit des temps, ils sont avides de pouvoir et décidés à restaurer leur règne absolu. Usant de sorcellerie, ils ont pris apparence humaine et créé une puissante société secrète, la Griffe noire, qui conspire déjà dans les plus grandes cours d’Europe.
Pour déjouer leurs sinistres complots, Richelieu a reformé son unité d’élite, une compagnie clandestine d’aventuriers et de duellistes rivalisant de courage, d’élégance et d’astuce. Six hommes et une femme aux talents exceptionnels prêts à braver tous les dangers et à risquer leur vie pour la Couronne : les Lames du Cardinal.
Mais alors qu’ils ont rendez-vous, par une nuit d’orage, avec une espionne italienne aussi belle que dangereuse qui prétend détenir les clés d’un complot à venir, ils sont loin d’imaginer l’ampleur de la tragédie qui va s’abattre sur la France et les obliger à affronter leur plus terrible adversaire : l’Alchimiste des ombres…
Critique :
Comme le premier tome de la série des Lames du Cardinal, L’alchimiste des ombres se lit avec grand plaisir. L’écriture de Pierre Pevel est toujours aussi agréable, et ses idées toutes plus originales que les autres. On connait de mieux en mieux les personnages principaux et on s’y attache. J’ai beaucoup aimé Saint-Lucq, à la fois mystérieux, efficace et fascinant. Le poids des missions et des devoirs envers le cardinal affectent de plus en plus les Lames. La Fargue vieillit, Leprat faiblit, etc. Par contre, en face d’eux, l’ennemi grandit. Le récit est rythmé et nous emporte dans les combats d’épées, les couloirs du Louvre et les rues de Paris. J’ai dévoré ce tome.