17/02/2013

Le bonheur des relectures

Quand j’ai commencé ma petite vie d’apprentie écrivain en couchant sur le papier toutes sortes d’histoires, je me disais que le plus dur, c’était tout simplement d’écrire.  Puis, lorsque j’ai réussi à produire quelques petites nouvelles, je me suis dit que ce n’était pas si terrible. Alors, j’ai décidé d’écrire de plus grandes aventures, de plus grands récits… Et pourquoi pas des romans… Et là, bien sûr, de nouvelles difficultés me sont tombées dessus. Outre la difficulté d’aller jusqu’au bout de ce que l’on veut écrire, il y a aussi l’immense travail de relecture qui s’impatiente derrière tout ça.

Justement, en ce moment, je suis en pleine relecture d’une nouvelle et d’un roman. Et j’ai observé que les choses n’étaient pas si facile que ça. Il est vrai que si votre premier jet est superbement écrit, sans aucune imperfection, les relectures ne sont pas utiles, mais est-ce que cela existe ? Je ne suis pas une malade de la perfection, mais je pense que tout auteur est obligé de passer par ces phases de relectures. Moi encore plus, puisque mon premier jet n’est jamais très lisible.

Voici les points que j’essaie de revoir à chaque fois :

  • Les fautes d’orthographe et les fautes de frappe : j’ai envie de dire que c’est la partie la plus facile à corriger. Lors du premier jet, j’écris toutes les idées qui me viennent en tête et j’ai tendance à oublier des lettres, des mots de liaison (ou même des mots tout simplement !), à faire des fautes d’orthographe impardonnable (j’écrivais la dernière fois « une cote de maille / une côté de maille » au lieu de « cotte de maille »…). Bref, tout ça peut être revu dès la première relecture, grâce à des outils de correction comme Antidote ou autre.
  • La concordance des temps : c’est aussi un point que j’aborde lors de la première relecture du manuscrit. Généralement, je lutte entre l’utilisation du passé-simple et de l’imparfait. Heureusement, à la simple lecture, et donc à l’écoute, j’arrive à trouver ce qui est le plus juste. Mais, il reste souvent quelques doutes par-ci par-là, qui devront disparaitre lors de la seconde relecture.
  • L’utilisation du vocabulaire (trouver le fameux mot juste) : Ah, ça, c’est mon cauchemar. Le manque de vocabulaire y est certainement pour quelque chose, mais il est impossible de tout connaitre. Et dans les descriptions, même si j’ai en tête l’image parfaite de ce que je veux retranscrire, les mots ne se laissent pas facilement trouver. Le dictionnaire des synonymes devient mon ami. Et je l’emploie au cours de toutes les phases de relecture, de la première à la dernière.
  • L’amélioration de certains passages : il est possible que par manque d’inspiration, j’ai délaissé certains passages. Il manque alors de la description ou des idées. Et je me force, dès la première relecture à les réparer.
  • Les enchainements et la cohérence des évènements : ceci intervient un peu plus tard, une fois les précédents points effectués. Il est remarquable de voir que des objets, des lieux ou même des personnages changent d’une page à l’autre (exemple : j’écrivais récemment que l’un de mes personnages se trouvait dans la cuisine, eh bien devinez quoi, deux pages plus loin, il est dans la chambre… Soit il a décidé de vivre sa vie au dépend de l’auteur, ce que je peux comprendre, soit j’ai un peu oublié de le faire se déplacer… Autre exemple : un de mes personnages trouve un bracelet et le laisse dans la chambre. Une page plus loin, il l’a au poignet sans autre explication ! Quel incroyable magie !). Pour les enchaînements, il m’arrive d’abuser de temps à autre d’ellipse, c’est-à-dire que j’omets volontairement la description d’un évènement, laissant ainsi le lecteur se faire sa propre idée. C’est joli et ça donne du style, mais il ne faut pas qu’elle soit le reflet de la fainéantise de l’auteur.
  • La fluidité de la lecture : je considère ce point comme l’ultime condition avant de présenter un texte. Pour moi, il intervient lors de la dernière relecture. Je lis, à haute voix si possible, l’histoire et je vois tout de suite si ça accroche ou pas. C’est une phase de peaufinage.

La nouvelle sur laquelle je suis en ce moment est en 3ème relecture. Je dois encore corriger quelques incohérences et vérifier la fluidité de la lecture. Après cela, il sera temps de la présenter à des bétalecteurs. Le retour de personnes extérieures est un point extrêmement important, car à force de relire, on ne voit plus grand chose. Une vision neuve ne peut être que bénéfique !
Et ne croyez pas que les relectures se terminent là ! Car avec les retours des bétalecteurs arrive une nouvelle batterie de relecture !

Finalement, j’estime que le temps de relecture est trois plus long que celui de l’écriture. Bien sûr, avec l’habitude et l’expérience, on réduit fortement ce temps, mais il reste tout de même une part importante dans la création d’un texte.

15/01/2013

Lancement du challenge 2013

C’est parti pour un nouveau challenge 1er jet !
Juste pour rappel, ce challenge se déroule sur Cocyclics et a pour but d’écrire le 1er jet d’un roman au cours de l’année.

Cette fois-ci, je quitte le roman jeunesse pour me pencher sur un roman pour adulte. Une première pour moi.

Voici la fiche détaillée, mise sur Cocyclics :

Auteur : Louisia

Titre du roman : Les cités de cristal

Genre : SF ~ Planet Opera

Public visé : Adulte

Nombre de signes prévus : 300 000 signes

Résumé :

Cela faisait deux ans que Delta travaillait sur l’Icarion, un vaisseau spatial spécialisé dans le transport de minerai. Jamais, elle n’eut l’opportunité de monter en grade ou plutôt jamais on ne voulut lui donner quelques responsabilités que ce fut. Le commandant Palone était mysogyne et si l’ancien commandant du vaisseau n’avait pas embauché Delta lors de leur dernière escale, elle serait resté à terre.
Au sein du vaisseau, l’ambiance était à la nervosité, à la suspicion et à la peur. Palone, aidé de sous-fifres plus ou moins cruels, dirigeait l’équipage d’une main de fer. C’est pourquoi Delta décida un jour d’en finir. Elle organisa à l’aide de Banhir et Tali une rébellion dont le but final était de s’emparer de l’appareil et de filer vers Sizail. Malheureusement, les trois équipiers échouèrent. Delta fut alors sommairement jugée et condamnée à avoir les jambes brisées et à être abandonnée sur l’une des planètes de la constellation de l’étrange.
Est-ce que Delta pourra survivre à ce nouveau monde ? Qui sont ces peuplades qui vivent dans les sublimes cités de cristal ? Pourra-t-elle surmonter son handicap et se venger un jour du commandant Palone ?

Maintenant, il n’y a plus qu’à écrire…

10/01/2013

Une nouvelle année, de nouveaux projets ?

Bonne Année 2013 !

Qui dit nouvelle année, dit nouvelles idées, nouveaux projets, nouveaux défis… Bref, plein de choses à faire !

Mais avant tout, il faut faire le bilan de l’année 2012. Malgré le peu de temps que j’ai réussi à trouver, j’ai réalisé quelques projets intéressants :
– J’ai écrit une nouvelle, La ville nébuleuse, qui a été publiée dans Outremonde 12
– J’ai terminé le premier jet de mon roman jeunesse, L’ascenseur voyageur, grâce au challenge 2012 de Cocyclics.
– J’ai commencé l’écriture de nombreuses nouvelles… que je n’ai pas terminé….

Bon, ça ne semble pas beaucoup pour une année, mais j’ai appris un certain nombre de choses qui me laisse penser que je vais être plus productive, plus inventive et plus déterminée en 2013.
A présent, je sais écrire rapidement un premier jet d’une nouvelle ou d’un roman. Je connais mieux aussi les différentes phases de relectures. En résumé, je n’écris plus au compte goutte avec la volonté de ne pas avancer tant que tout n’est pas parfait. Finalement, je pense avoir réussi à battre mon perfectionnisme.

Faisons place aux projets pour 2013 :
– Effectuer les multiples relectures de mon roman jeunesse, L’ascenseur voyageur, et le soumettre à différents béta-lecteurs.
– Ecrire le premier jet d’un nouveau roman, Les cités de cristal (SF – légère Fantasy) avec le challenge 2013 sur cocyclics.
– Répondre à au moins 3 ATs (j’ai déjà en relecture une nouvelle pour l’AT Les Machines)

Je pense que c’est réalisable. Alors, go !!!
Je cours écrire de milliers mots, penser et repenser des plans et relire des pages et des pages d’histoires imaginaire.

17/12/2012

Salon de l’imaginaire, Sèvres 2012

Ce 8 décembre avait lieu à Sèvres les 9es rencontres de l’imaginaire. Et c’est avec joie que j’y suis allée. J’ai pu voir ActuSF (qui avait installé pour l’occasion une buvette à côté d’eux. Très bonne initiative !), Galaxies, les éditions Malpertuis, Rivière Blanche, Présences d’esprits et bien sûr mes amis les éditions Sombres Rets.


Une photo du stand Sombres Rets. De gauche à droite : Thomas Spock, Yves-Daniel Crouzet, Cyril Carau, Elie Darco, Ombeline Duprat at Aurélie Wellenstein

Les auteurs et illustrateurs étaient nombreux au centre de salle, toujours prêts à dédicacer les livres !

Le salon s’est terminé dans une très bonne ambiance, avec du champagne et des petits fours, à la buvette d’ActuSF.

2/12/2012

Le nouveau GGG est arrivé

Vous ne connaissez peut-être pas le GGG mais si vous voulez présenter vos écrits à des maisons d’éditions de l’imaginaire alors je vous le recommande.

L’acronyme GGG signifie Grimoire Galactique des Grenouilles. Il s’agit du guide des éditeurs de l’imaginaire, réalisé par le collectif CoCyclics et publié par l’association Tremplins de l’imaginaire.

GGG

Il y a quelques années, ils avaient sortis le premier exemplaire du GGG, à présent ils publient une nouvelle édition actualisée. C’est avec joie que je me suis procurée la version papier et pdf. Et je n’en suis pas mécontente !

Tout d’abord, l’édition papier est largement plus jolie que la précédente, c’est un véritable petit livre (couverture souple avec une superbe illustration de Guillaume Decos, reliure collée, 150 pages).
Une note supplémentaire a été ajoutée au sommaire puisqu’il est possible de voir devant chaque maison d’édition la lettre « A » pour Adulte et « J » pour jeunesse. Ainsi, vous pouvez connaitre du premier coup d’oeil quelles sont les maisons d’éditions que vous cherchez. De plus, pour chaque détail d’éditeur, il est inscrit (à côté du nom) s’il fait de la SF, Fantasy ou Fantastique.
En résumé, je trouve la mise en page plus claire et les informations plus faciles à trouver.

La version pdf est aussi une nouveauté. Et elle est en tout point similaire au livre. Moi, qui ait une liseuse, je suis ravie de pouvoir l’avoir en numérique.

Vous trouverez aussi dans le GGG des conseils pour l’envoi de manuscrits, des informations sur la chaîne du livre et des retours d’expériences sur des jeunes auteurs.

Si cela vous intéresse, n’hésitez pas à vous le procurer : Le Grimoire Galactique des Grenouilles

18/11/2012

Les ebooks arrivent chez L’atalante !

Voilà quelques temps déjà que je guette l’apparition des ebooks dans les maisons d’éditions mais c’est un phénomène qui reste encore rare.

Il y a peu, les éditions L’atalante s’y sont mis et c’est avec plaisir que j’ai été faire un petit tour sur leur site. Je me posais plusieurs questions :
– Sous quel format allaient-ils les éditer ? Et quelle serait leur qualité ?
– A quel prix allaient-ils les vendre ?
– Y aurait-il un DRM sur le fichier ?

Comme n’importe quel lecteur, il est normal que je juge les livres numériques au même titre que les livres papiers. Personne ne voudrait d’un livre écorné, avec une page en moins ou une reliure en mauvais état, alors pourquoi l’on ne serait pas aussi exigeant avec les ebooks ? Sur ce point, L’atalante a été judicieux car elle a permis aux lecteurs d’acheter gratuitement un livre numérique. J’ai donc foncé sur la fnac et j’ai pris la nouvelle de Pierre Bordage, Le Pacte.

Une fois sur ma liseuse, j’ai pu apprécier la qualité du livre et répondre à mes interrogations :

– Le format choisi est l’epub qui est le format standard des livres électroniques. C’est un très bon choix puisqu’ils vont sur toutes les liseuses (à l’exception des Kindle d’amazon, il faudra passer par Calibre pour le convertir en azw, le format des ebooks d’amazon… eh oui, comme Apple, ils ont fait le choix du « propriétaire », quel dommage !)

– Qu’en est-il de la qualité de l’epub ? Très bonne ! Le texte était exactement ajusté à ma liseuse et correspondait en tout point à une page de livre normal, sans aucune anomalie. Je n’ai eu aucun mal à lire la nouvelle de Pierre Bordage.

– C’est avec plaisir que j’ai pu constater que l’ebook était sans DRM (droits numériques sur l’oeuvre). C’est un gage de confiance de la maison d’éditions car elle laisse au lecteur la propriété de son livre (qu’il a acheté au même titre qu’un livre papier).

Une dernière question restait en suspens : à quel prix allaient-ils les vendre ? Je me suis donc rendue une nouvelle fois sur la fnac et j’ai pu constater que les livres étaient globalement 50% moins cher en ebook qu’au format papier. Quel joie !
Quelques exemples :
– Pierre Bordage, Les guerriers du silence, 8,49 € au lieu de 20,90€
– Sylvie Denis, La saison des singes, 7,99€ au lieu de 19,95€
– Laurent suhner, Vestiges, 9,99€ au lieu de 21,85€
Les prix des ebooks rejoignent donc les prix des poches (vous pouvez trouver Les guerriers du silence pour 8€ en poche mais tous les livres de L’atalante ne sont pas forcément en poche alors qu’ils vont être en ebook…).

Toutes ces analyses m’ont convaincu d’une chose : j’achèterai plus souvent d’ebooks chez L’atalante. Et fini les piles de bouquins qui prennent la poussière sur les étagères ! Fini l’attente des colis ! Fini les dépenses excessives pour les livres ! L’ère des livres numériques est enfin arrivée !

Sur le site des éditions L’atalante, vous trouverez une liste des livres édités en numérique (mise à jour progressivement) :
–> Jour j pour le livre numérique

Vous pouvez aussi lire des articles très interressants (comme le détail du prix d’un livre numérique) sur leur blog :
Blog des éditions L’atalante

17/11/2012

Challenge 2012 terminé !

Eh oui, j’ai réussi à boucler le premier jet d’écriture de L’Ascenseur Voyageur, mon roman jeunesse !

Certes, quand j’ai ouvert mon challenge le 04/10 sur cocyclics, j’avais déjà écrit une dizaine de chapitre mais je l’avais fait en 1 an ! Et je n’arrivais plus à trouver le temps ni la motivation pour finir d’écrire l’ensemble de l’histoire. Je peux vous dire maintenant que les grenouilles de cocyclics sont efficaces ! Elles ont été nombreuses à suivre mon challenge et je les remercie. A force d’encouragements, elles ont réussi à me lancer à nouveau dans l’écriture et à éviter les pièges qui sont de se relire tout le temps. Le 15/11, quand j’ai mis le point final au dernier chapitre, je me suis rendue compte que tout était possible ! Il ne m’a fallu qu’un mois et demi pour finaliser le roman. Je n’aurais certainement pas été au même niveau si je n’avais pas tenté le challenge.

Mais tout n’est pas fini car le premier jet d’un roman n’est que l’esquisse d’un dessin. Il faut désormais affiner les traits, rendre l’ensemble plus stable et c’est le rôle des relectures. J’attaque donc la relecture numéro 1.

Bilan :

Nombre de signes : 95 187 sec
Nombre de mots : 15 983 mots
Nombre de chapitres : 14
Nombre de personnages importants : 6 (+ 1 ascenseur)
Nombre de lieux différents : 8
Nombre d’évènements importants : 5

1/11/2012

Hero Corp

Dans la rubrique série TV de SF française, j’appelle Hero Corp !
Encore une nouvelle découverte étonnante et réjouissante. Si vous cherchez le rire, la surprise et l’aventure, vous ne pouvez pas passer à côté de cette série.

Hero Corp a été réalisé par Simon Astier et Alban Lenoir, et diffusé par France 4 et Comédie!
Elle revisite les comics américains sur un ton humoristique (à noter que Simon Astier jouait le rôle d’Yvain dans la série Kaamelott). C’est ainsi que l’on découvre John, jeune homme tout à fait banal, au bord d’une route. Il se rend dans un village au fin fond de la Lozère pour assister à l’enterrement de sa tante. Mais cet endroit n’est pas quelconque… c’est le repère de tous les super-héros… retraités. Au fil des épisodes, John va découvrir l’idenité de ces habitants aux allures et aux manières étranges, il va même jusqu’à se découvrir lui-même et quelle est sa véritable mission en ces lieux.
Allez, une petite question pour vous donner l’eau à la bouche : savez-vous ce qu’est devenu Captain Cold, le légendaire super-héros ayant la maîtrise de la glace ? Une petite idée… ? (réponse : il tient le bar du village et ne sait désormais plus servir que des boissons frappées aux clients. Une sacrée reconversion, vous ne trouvez pas !?!)

Pour l’instant, il y a deux saisons mais une troisième s’annonce pour l’année prochaine.

Rendez-vous sur le site officiel pour en savoir plus : Hero Corp

Amusez-vous bien !

19/10/2012

Univers 12, Hors-la-loi

Le webzine d’Outremonde, Univers 12 spécial Hors-la-loi vient de sortir ! La superbe illustration d’Alda vient couvrir ce nouvel opus.

Et devinez quoi… je me trouve au sommaire avec une nouvelle intitulée La ville nébuleuse et illustrée par Nathy.

Au sommaire :

Outlaw, de Frédéric Czilinder, illustrée par Tony Patrick Szabo
Non coupable, de Thomas Spok, illustrée par Clg
Les Sauvages, de Aurélie Wellenstein, illustrée par Run’s
D’Interpol à Interco : bandits et policiers du futur, un article de Didier Reboussin
L’innocence et la boue, de Marie Loresco, illustrée par Cyril Carau
Horizona Dream, de Richard Mesplède, illustrée par Annick De Clercq
La ville nébuleuse, de Louisia, illustrée par Nathy

Vous pouvez télécharger gratuitement le webzine à cette adresse : Univers 12
(Vous pouvez le lire en ligne en .swf et l’enregistrer en pdf et epub)

Et vos avis sont les bienvenus ici : Vos avis et commentaires

6/10/2012

Cocyclics, Challenge 2012

Il n’est jamais trop tard pour se lancer un défi ! Et c’est ce que j’ai décidé pour cette fin d’année.

Après de nombreuses hésitations sur ce que j’allais écrire,  j’ai fini par choisir de terminer mon roman jeunesse intitulé L’Ascenseur Voyageur. Mais, comme vous le savez tous, outre le fait qu’il est difficile de trouver du temps, il n’est pas aisé de se motiver pour se lancer des heures devant son ordinateur . Certes, il y a des périodes où tout roule, l’inspiration est là, le temps libre aussi et les mots qui vont avec. Et il y a des moments où rien ne se passe comme il faudrait et où les projets d’écriture tombe dans les abîmes !

Pour aider les auteurs à avancer dans leurs travaux, le collectif Cocyclics a trouvé un moyen : le challenge 1er jet. Le but est d’écrire le 1er jet de son roman au cours de l’année (le 1er jet signifie la première version entière de l’histoire). Ainsi, chaque année, les auteurs présentent leur œuvre sur le forum et la communauté les soutient, les aide, les motive, les secoue tout au long de l’année.
Je viens juste de m’inscrire ! Vous allez me dire que c’est un peu tard mais il n’y a pas de date pour commencer un challenge ! De plus, je dispose déjà d’une dizaine de chapitres sur quinze. Grâce à cette aide de Cocyclics, je vais peut-être pouvoir finir mon roman !

Une tournée de Nénuphou pour cocyclics !

(Si quelqu’un avait une bannière Cocyclics, je serais ravie de la mettre dans la liste de liens)