Que dire d’Ubik ? Ou plutôt qu’est-ce qu’Ubik ? Car c’est bien cette question que l’on se pose tout au long de ce livre.
Philip K. Dick nous entraîne dès le début dans une histoire où les anti-psis, les télépathes et les précogs évoluent et s’affrontent dans un monde futuriste placé en 1992 (le livre a été écrit en 1969). Suite à une explosion mortelle lors d’une mission sur la lune, nous suivons Joe Chip et son équipe dans un monde en régression où seul Ubik semble être le moyen de survivre. Dick dépeint avec talent un univers à la fois réel et irréel. Étrange, n’est-ce pas ?

Passionnant, ce livre reste difficile à décrire et à interpréter. Il est certain que chacun a sa petite idée et je serai ravie d’en débattre ! Mais pour ne pas dévoiler l’intrigue dans cette article, je me jette dans les commentaires pour donner ma propre version.

Sur la quatrième de couverture, il est indiqué que cette œuvre fait partie d’un cycle spirituel commencé avec Le maître du haut château, continué avec Le dieu venu du Centaure et terminé avec Ubik.
Par chance, je viens de trouver Le maître du haut château sur mon étagère ! Je m’en vais donc de ce pas le lire avidement.