18/06/2014

L’épreuve, T.1 : Le labyrinthe (James Dashner)

L'épreuve, T.1 : le labyrinthe

Éditions Pocket Jeunesse, 318 pages

 

Quatrième de couverture :

Quand Thomas reprend connaissance, sa mémoire est vide, seul son nom lui est familier… Il se retrouve entouré d’adolescents dans un lieu étrange, à l’ombre de murs infranchissables. Quatre portes gigantesques, qui se referment le soir, ouvrent sur un labyrinthe peuplé de monstres d’acier. Chaque nuit, le plan en est modifié.
Thomas comprend qu’une terrible épreuve les attend tous. Comment s’échapper par le labyrinthe maudit sans risquer sa vie ? Si seulement il parvenait à exhumer les sombres secrets enfouis au plus profond de sa mémoire…

Critique :

Lorsque j’ai vu la bande-annonce du film de Wes Ball, intitulé Le Labyrinthe, j’ai tout de suite voulu en savoir plus. J’ai rapidement trouvé le livre adapté au cinéma : L’épreuve de James Dashner.  Intéressée par l’histoire, j’ai acheté le livre en ebook et je me suis lancée directement dans les premières pages. J’ai été littéralement happée par le livre. Je l’ai lu en deux jours, tellement il était bien. L’auteur a écrit son livre de sorte que l’on ne puisse pas y échapper. Les chapitres sont courts, mais à chaque fin, il y a un élément inattendu qui vient pimenter le récit, et force à continuer au prochain chapitre. L’écriture est fluide et pas ennuyante du tout. On s’attache très vite aux personnages et le mystère qui plane sur ce labyrinthe est incroyable. On nous donne des indices de temps en temps, mais on est comme Thomas, en quête de réponses. Le livre est vraiment bien fait. J’ai passé un super moment et si vous aimez les aventures haletantes, n’hésitez pas. Sinon, il vous faudra attendre octobre pour voir le film.

5/06/2014

Pour l’honneur des Mérina (Alex Evans)

27 pages, Éditions Voyel

27 pages, Éditions Voyel

Quatrième de couverture :

Améyo, fille d’une famille de riches marchands tombée dans la misère, vivote entre une belle-mère alcoolique et deux belles-sœurs. Criblées de dettes, leur jugement tombe : elles doivent tout rembourser dans trois jours, ou bien elles seront vendues comme esclaves. En désespoir de cause, la jeune fille décide d’invoquer le fantôme de son grand-père. Il pourra peut-être lui dire où se trouve la pieuvre des Mérina. Ce joyau perdu de la famille leur permettrait de payer tous leurs créanciers. Sauf que ce n’est pas le bon grand-père qui apparaît…

Critique :

Je découvre la collection e-court des éditions voy'[el] avec la nouvelle d’Alex Evans intitulée Pour l’honneur des Mérina. Je l’ai choisi non seulement parce que j’en ai lu une bonne critique, mais aussi parce que je connais déjà l’auteur avec La Chasseuse de livres que j’avais adorée. J’aime les univers d’Alex Evans et je n’ai pas été déçue. Le personnage principal, Améyo, est une fille très attachante, qui a les pieds sur terre et qui est prête à tout pour sauver l’honneur de sa famille (les Mérina). J’ai trouvé l’écriture très fluide et l’aventure pleine de rebondissements. Les autres personnages sont tous surprenants, car l’auteur a le don de changer l’image de ses protagonistes au fil de l’histoire. Cela permet d’ajouter du suspens et du piment au récit. Anjani, le fils d’un riche marchand, m’a particulièrement fait rire.

Je suis contente de m’être procurée cette nouvelle et d’avoir passé un bon moment en la lisant. Si vous souhaitez vous évader le temps d’une soirée, n’hésitez plus !

27/05/2014

Ecriture (Stephen King)

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Le livre de poche, 236 pages

Quatrième de couverture :

Quand Stephen King se décide à écrire sur son métier et sur sa vie, un brutal accident de la route met en péril l’un et l’autre. Durant sa convalescence, le romancier découvre les liens toujours plus forts entre l’écriture et la vie. Résultat : ce livre hors norme et génial, tout à la fois essai sur la création littéraire et récit autobiographique. Mais plus encore révélation de cette alchimie qu’est l’inspiration. Une fois encore Stephen King montre qu’il est bien plus qu’un maître du thriller : un immense écrivain.

Critique :

Quand j’ai acheté ce livre, je ne voulais pas d’un manuel d’écriture ou d’une méthodologie. Je préférais lire un retour d’expérience et Stephen King a exactement livré ce que j’attendais. J’ai été surprise plus d’une fois au cours de ma lecture. Sans détours, le roi du suspens nous présente comment il est arrivé à être publié et quels sont selon lui les bons ingrédients pour écrire. Avec brio, il arrive au fil des pages à faire rire, à cibler les choses essentielles et à rendre intéressant le moindre de ses propos.

Qui n’a jamais vécu ce moment de solitude quand on écrit et que l’on perd confiance ?

Il faut parfois continuer même quand on n’en a pas envie, et il arrive qu’on fasse du bon boulot alors qu’on a l’impression d’être là, à pelleter bêtement de la merde, le cul sur une chaise

Qui croit encore qu’une énergie magique est insufflée à l’auteur lorsqu’il écrit ?

L’idée que l’effort créateur et les substances qui altèrent l’esprit sont étroitement liés est l’une des plus grandes et plus populaires supercheries intellectuelles de notre temps.

Le conseil ultime que Stephen King donne se résume par cette phrase :

Lire beaucoup et beaucoup écrire.

Il explique aussi qu’il faut écrire par plaisir et non par obligation :

Cette impression de travailler est le baiser de la mort

Alors pour mieux écrire, il faut se donner les moyens :

Ce qui favorise le plus une production régulière, c’est une atmosphère de travail sereine.

Il est judicieux d’éliminer tout ce qui peut être objets de distraction.

Et concernant les relectures, il nous rassure :

[…] vous verrez aussi à quel point la première version d’un texte, même quand elle est de la plume d’un écrivain en principe « professionnel », est encore mal dégrossie si on l’examine de près.

Le mieux pour améliorer son texte est donc d’adopter ces deux règles :

Enlevez tout mot inutile

Deuxième version = première version – 10%

J’ai adoré ce livre. Il m’a donné la pêche et m’a rassuré sur le travail d’écrivain. De plus, il n’est pas ennuyant comme pourrait l’être des « manuels » plus classique sur l’écriture. Je vous le conseille pour son originalité, sa qualité d’écriture et son côté simple. Bonne lecture !

25/05/2014

Les Foulards rouges – 5 (Cécile Duquenne)

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Épisode 5 – Mastermind, Bragelonne, 51 pages

 

Résumé :

Plongez avec Lara dans l’enfer de Bagne, planète-prison où le danger se cache partout, au cœur de chacun de ses sinistres habitants, et même derrière chaque goutte d’eau, chaque ressource naturelle de cette terre irradiée.

Lorsque Lara sort de l’inconscience, elle se rend tout de suite compte qu’elle est en bien mauvaise posture – prisonnière des Foulards Noirs, et qui plus est, bientôt confrontée à un ennemi revenu d’entre les morts. Heureusement, elle peut compter sur le soutien indéfectible de son très cher Will, caché dans un repli de son corsage…

Critique :

Je suis un peu déçue. Je me doutais bien du retour d’un des personnages, mais je m’attendais à des révélations plus explosives. La première partie se passe dans un endroit où j’ai eu du mal à me projeter. Il y a des containers partout, mais on y marche dessus, c’est labyrinthique, bref je m’y suis perdue alors que Lara arrive à s’y retrouver. Tant mieux en même temps, car être prisonnière des foulards noirs, c’est flippant… quoique… il y a tout ce que pourrait rêver un bagnard ! Une salle de bains entre autre… Alors pourquoi s’échapper ? Et quelle facilité pour s’enfuir ! Tout est trop simple… Bon, peut-être que c’est fait exprès, mais c’est étonnant. Les retrouvailles entre Renaud et Lara sont sympathiques, mais je ne comprends pas pourquoi Lara ne démonte pas Renaud à coup d’insultes et de coups, vu la révélation qu’il lui a faite. Je la trouve très zen, même si je me doute bien qu’elle est éreintée par sa fuite et qu’elle n’a plus la force de piquer une crise. La fin de l’épisode est plutôt intéressante. On vit la confrontation entre le père et la fille et on y découvre un traitre bien caché. J’ai adoré cette partie, car elle nous relance dans l’intrigue. En conclusion, je dirai que cet épisode est agréable, mais qu’il y a une partie à mon avis inutile (celle des containers). A confirmer avec la suite bien sûr !

Une dernière remarque qui me tient à cœur : sur le site de Bragelonne, l’épisode est soi-disant de 136 pages… Sur immatériel, il est de 60 pages… Et finalement, quand vous le lisez, vous vous rendez compte qu’il est de 51 pages ! Les 9 dernières pages sont en réalité la présentation et les remerciements de l’auteur (plus la promotion des éditions). Et on les retrouve à chaque épisode. Je ne comprends pas pourquoi ils ne les mettent pas uniquement sur le premier épisode ou sur le dernier. Le lecteur qui achète l’épisode 5 a forcément lu les épisodes précédents et donc ces 9 pages (moi-même je les ai lu au premier épisode), pourquoi les répéter à chaque fois et nous faire croire à 60 pages d’histoire ?

15/05/2014

Real Humans, saison 2

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Résumé :

Dans ces nouvelles aventures, un inquiétant virus informatique transforme les Hubots en machines dangereuses et incontrôlables. Une situation d’autant plus délicate que les robots sont de mieux en mieux intégrés dans la société. A un tel point qu’un bras-de-fer se joue pour faire accepter l’égalité entre les humains et les Hubots. La pandémie va-t-elle tout remettre en cause ?

Critique :

La saison 2 de la série TV « Reals Humans » est de retour sur Arte. Les épisodes 1 et 2 viennent d’être diffusés à l’heure où je vous parle, et j’ai été ravie de retrouver les hubots (Mimi, Béatrice), les humains (les Engman), leurs remises en question et leurs combats. Le jeu d’acteur est toujours aussi excellent, surtout pour jouer les hubots. Les questions sur l’intégration de ces « machines humaines » pose toujours des problèmes dans la société et reflète nos propres questionnements. Le sujet n’a jamais autant d’actualité.

Je ne me lasse pas de cette série et je vous la recommande. Elle passe le jeudi soir sur Arte.

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8/05/2014

Lady Falkenna – 1 (Alizée Villemin)

45 pages Editions Lune Ecarlate

45 pages
Éditions Lune Écarlate

Quatrième de couverture :

Lady Falkenna – Eve pour les intimes – est une jeune femme au tempérament bien trempé. Chasseuse de l’occulte, elle quitte parfois son domaine niché au sein de l’Angleterre victorienne pour plonger dans un monde où l’emprise de la magie se révèle chaque jour plus importante, où les dragons griffent les ardoises parisiennes et les faëries dansent sur la Tamise…

ÉPISODE 1 :

Missionnée par son commanditaire, en quête du Torque d’Ambrosia, Lady Falkenna doit faire face à des ennemis bien plus puissants et acharnés que prévu. Les ombres, jadis ses alliées, se font menaçantes. Pourquoi la traquer ainsi ? Qu’a-t’elle réveillé ?

Critique :

Il y a beaucoup d’idées dans ce premier épisode. L’univers steampunk est très beau, j’ai aimé tout particulièrement le voyage en dirigeable et la traversée de Paris. L’héroïne a du caractère et semble tailler pour l’aventure, elle prend quelque coup, mais elle sait être prudente et réagir assez vite. Il faut dire que ce n’est pas sa première mission ! Les personnages sont variés : on a un nécromant, une sorcière, des vampires et des créatures étranges (dragons mécaniques par exemple). La quête du Torque est au premier abord bien compliquée et je me demande comment elle va s’en sortir, vu le peu d’indices qu’elle possède. La lecture est plaisante, je ne me suis pas ennuyée et j’ai d’ailleurs commencé l’épisode 2.

6/05/2014

Voler (de ses propres ailes), Cécile Duquenne

23 pages Editions Walrus books Collection micro

23 pages
Editions Walrus books
Collection micro

Quatrième de couverture :

Le docteur Edwards a longtemps attendu cette soirée : ce membre éminent de l’Association de Découvertes Archéologiques de Floride est en passe de récolter des fonds pour présenter une somptueuse collection d’artefacts sud-américains : le trésor de Cortés en personne. Olivia, une délicieuse jeune femme, lui propose l’aide financière de son mystérieux patron pour parvenir à ses fins. La curiosité du professeur est attisée. Mais Olivia — et surtout son employeur — ont une autre idée en tête, dont ils se gardent bien de parler avec Edwards. Car derrière les motivations archéologiques se dissimulent les échos d’un combat qui dure depuis des siècles, pour lequel Olivia va devoir utiliser ses pouvoirs et risquer sa vie.

Critique :

Je continue sur ma lancée dans mes lectures de Cécile Duquenne. J’ai découvert cette auteur à travers les Foulards rouges, puis Purespace et là je viens de trouver cette nouvelle au résumé très prometteur. J’avoue que le titre ne m’attirait pas trop et je le trouve d’ailleurs mal choisi, j’aurais préféré quelque chose comme « L’émeraude de Cortes » ou « Métamorphose », etc.

L’histoire touche à la fois le domaine historique (les découvertes archéologiques, Cortès, les aztèques) et le fantastique (Quetzalcoatl, les métamorphes, la magie). Ce mélange est agréable, et on suit les pérégrinations d’Olivia avec intérêt. Un texte sympathique qui se lit rapidement.

25/04/2014

Les Foulards rouges – 4 (Cécile Duquenne)

Editions Bragelonne 51 pages

Éditions Bragelonne
51 pages

Quatrième de couverture :

À bord du Hubb, Lara reconduit vers la Hacienda ses nouveaux compagnons de route – Scar et Anthony – tandis que Renaud reste en arrière pour régler une dernière affaire… Mais il se pourrait bien que le véhicule et son très précieux chargement se dirigent en réalité tout droit dans un beau traquenard !

Critique :

Avec cet épisode, nous avançons progressivement vers le dénouement de la saison. Certes, il reste encore 3 épisodes, mais on sent que les choses se précipitent. Le danger rode toujours autour de nos bagnards. Les Foulards noirs deviennent de plus en plus puissants, ce qui poussent Lara, Renaud et le Capitan à accélérer leur fuite. Les attaques redoublent à leur encontre, mais ils résistent, jusque quand… l’avenir nous le dira, car la fin de l’épisode ne laisse rien présager de bon !

J’aime de plus en plus les personnages de cette saga. Renaud est devenu mon préféré, il est tellement séduisant qu’on ne peut pas résister (et puis son pouvoir est génial). Son ambiguïté augmente l’intérêt qu’on pourrait lui porter, et le jeu qui se livre entre Lara et lui est magnifique. J’adore la résistance de Lara, c’est d’ailleurs sa seule marche de manœuvre dans le cours des événements.  Le retour de Will est magistralement orchestré, même si l’on devine un peu en avance son véritable rôle. En ce qui concerne la fin, j’ai une petite idée sur ce qui va se passer…. on verra bien en mai pour la suite !

17/04/2014

La chasseuse de livres (Alex Evans)

Editions Walrus Books 61 pages

Éditions Walrus Books
61 pages

Quatrième de couverture :

Cassandra est une étudiante un peu particulière : héritière de l’antique famille royale des Galata, la jeune princesse prépare une thèse de Magie à l’université. Passant en revue les grimoires les plus vénérables et les plus prestigieux, l’académicienne mène une vie rangée et, pour tout dire, un peu ennuyeuse : elle rêve par-dessus tout d’aller sur le terrain et de devenir enfin Chasseuse de livres. Car la Magie a beau avoir déserté le pays depuis quatre siècles, certains nostalgiques des arts occultes semblent convaincus que l’énergie mystique est sur le point de reparaître. Mais les évènements prennent une tournure inattendue le jour où la jeune érudite reçoit une invitation pour une soirée à la Fondation des Sciences Occultes. La vénérable Tamora Caton a en effet une mission à lui confier : retrouver le mythique « L’Appel des Anciens », plus qu’un livre, une légende des arts magiques et une source de pouvoirs terribles pour celui qui mettra la main dessus. L’occasion est trop belle. Mais l’étudiante n’imagine pas encore que son chemin sera parsemé d’embuches et dépassera de loin sa simple curiosité scientifique. Dans l’ombre, les convoitises s’aiguisent.

Dans un monde mêlant légendes bibliophiles et steampunk assumé, Alex Evans nous offre une novella riche en rebondissements, en personnages passionnés et en atmosphères dépaysantes, et ouvre une porte sur un univers bouillonnant où magie et ambition ne font pas toujours bon ménage.

Critiques :

J’ai adoré ! Il y a tous les éléments qui me passionnent dans un livre : un univers riche, une héroïne haute en couleur, des livres, des ruines archéologiques mystérieuses et de la magie. Que demander de plus ? Tout de suite, j’ai été emporté dans cette chasse au trésor, car elle est subtilement amenée. Le roman est équilibré, on a tout d’abord une mise en place des personnages, des lieux et de l’intrigue, puis on a l’aventure, le danger et enfin le final. J’ai lu cette novella assez vite, car en plus d’être passionnante, l’écriture d’Alex Evans est fluide et sans anicroche. J’ai bien aimé la fin, même si j’attends avec impatience qu’une suite soit publiée. On a vraiment envie d’en savoir plus sur cet univers et ses personnages. L’ensemble tient très bien debout et il y a une conclusion, qui à mon sens est superbe (surtout le dernier mot !). Néanmoins, je vais quand même lancer une incantation (où se trouve mon Appel aux Auteurs, hum… peut-être au fond de cette crypte…) et je vais demander à ce que l’auteur écrive une suite, car j’ai vraiment accroché.

14/04/2014

Purespace – Episode 2 (Cécile Duquenne)

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Les Éditions du Petit Caveau
Avril 2014

Critique :

Avec ce deuxième épisode, Shereen, la reine des vampires, rejoint son ami Aramis, loup-garou et alpha d’une impressionnante meute. Elle s’installe avec son clan dans le château de son hôte et tente de créer une alliance entre vampires et loups-garous pour lutter contre les aliens qui les ont attaqués.

J’ai préféré cet épisode au précédent, car on apprend plus de choses sur le caractère des personnages, leurs forces et leurs faiblesses. La tension entre vampires et loups-garous est palpable dès l’entrée de Shereen sur le territoire de la meute. L’ambiance est posé dès cet instant et l’on s’attend à un éclatement à tout moment, ce qui ne tarde pas à arriver… Le final de l’épisode laisse vraiment sur la faim et je regrette que les épisodes soient si courts (35 pages).

A vos liseuses !